Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société saint vincent de paul - Page 4

  • LA RENTREE DANS LES PAROISSES DE VANVES SOUS LE SIGNE DE SAINT FRANCOIS ET DE SAINT VINCENT DE PAUL

    La Rentrée dans nos deux paroisses de Vanves, Saint François et Saint Remy, est toujours marqué par la fête de la Saint François qui se déroulera le Dimanche 7 Octobre dans l’église qui porte son nom, avec messe solennelle clôturant « l’année Saint François » à 11H, déjeuner partagé à 13H, projection de photos du pèlerinage à Assises etc…durant l’après-midi. Cettte fête ouvrira « l’année de la foi » demandée et désirée par le Saint Pére, qui permettra à chacun de pouvoir approfondir son attachement au Christ et de revoir les fondamentaux de la loi à la lumière du Concile Vatican II, dont nous fêterons cette année les 50 ans » écrivait l’abbé Vincent Hauttecoeur, curé de Vanves dans le premier « Sel et Lumière » de la Rentrée et qui ajoutait : « La Foi est bien présente sur Vanves et je peux le constater très régulièrement. Nous avons, par tous les moyens qui nous sont proposés, à promouvoir et à partager notre foi avec ceux qui habitant la ville de Vanves »

     

    L’une des asssociatioons de ses paroisses est mise à l’honneur ce week-end, la  société Saint Vincent de Paul, parce qu’elle organise sa quête annuelle à la sortie des messes, ce qui lui permet de financer ses animations, ses soutiens financiers à ceux qui sont âgés, seuls, malades… Beaucoup connaissent cette association septuagénaire sous le nom de « conférence Saint Vincent de Paul » et se sont demandés pourquoi : Tout simplement parce que cette association caritative  a été créée en 1833  sur le plan national, par de jeunes universitaires qui souhaitaient réagir contre l’anticléricalisme ambiant de l’époque et du quartier latin à Paris, et développer une certaine forme de solidarité. Et c’était un terme à la mode pour désigner une telle association par des étudiants.

     

    Elle avait choisi pour siége une église et un quartier qui ne ressemblaient à rien  à ce qu’ils sont devenus aujourd’hui : Un ensemble de pavillons, sans caractère, hérissé de quelques immeubles de 3 ou 5 étages, manquant de tout confort, habité par des émigrés des faubourgs du XVéme, des réfugiés des inondations de 1910, de bretons et vendéens voulant rester à proximité de la gare Montparnasse, et une petite colonie russe. En 1941, c’était la guerre et le pére Renaud, alors curé de la paroisse Saint François, décidait de réagir pour aider les familles qui se débattaient au milieu de nombreuses difficultés. Il convoqua quelques paroissiens le 13 février 1941  dont Maurice Jardin, qui en fit son premier président, et leur proposa de créer un groupe de  charité qui fut agréé ensuite par la société Saint Vincent de Paul le 28 Janvier 1942, apportant ainsi à ce petit groupe local l’appartenance à un grand mouvement de chrétiens laïcs fondé par un jeune homme de 22 ans, Frédéric Ozanam, vers 1833. Cette petite équipe a suivie l’exemple de ces femmes qui, à l’époque de Saint Vincent de Paul, ont créée dans la paroisse Saint Remy, une association semblable, « les dames de la charité »,  pour venir en aide aux nécessiteux de l’époque. 58 vanvéennes avaient ainsi entre 1461 et 1672/75 sous la houlette de l’abbé Oudin alors prieur-curé de Vanves œuvré dans cette confrérie qui avait son statut et son réglement.

     

    « Durant la guerre et l’immédiat après-guerre, ce petit groupe a réalisé de véritables prouesses pour apporter une aide matérielle, un réconfort, une amitié à des familles qui se débattaient tout comme eux dans de nombreuses difficultés. Ils fournissaient là, un surplus de nourriture, un meilleur chauffage, l’un d’entre eux n’hésitant pas à aller jusqu’à Monthléry pour aller chercher  du ravitaillement chez des maraîchers. Ils faisaient ici la queue chez des commerçants à la place des impotants, récupérer tout ce qui pouvait l’être pour le redistribuer à des familles dans le besoin, multipliant les démarches pour toucher des allocations ou des tickets supplémentaires, suivre les jeunes en partance au sanatorium car la tuberculose faisait des ravages, soutenant les familles endeuillées… »  racontait l’un de ces premiers vincentien vanvéen.

     

    Les années ont passées et les situations ont changé en s’améliorant bien sûr : « dans les années 50, cette équipe a lancée les aides ménagères à domicile qui furent reprises quelques années plus tard par la mairie. Un de ses membres donnait des cours de français à des ouvriers algériens dans la salle de la paroisse, faisant de l’alphabétisation avant l’heure ». Plus tard, elle s’est mise à distribuer des aides ponctuelles pour épauler une famille dans une mauvaise passe en attendant l’intervention des services sociaux de la mairie avec lesquels elle entretient d’excellent rapport. Et aujourd’hui, elle participe à la Banque alimentaire, à l’épicerie sociale intercommunale d’Issy/Vanves dont elle est membre fondateur avec le Secours Catholique et la Croix Rouge. Elle a apportée surtout, par des visites, pierre angulaire de son action, une présence suivie auprès des aînés bien souvent seuls, et notamment ceux du Foyer Danton et des maisons de retraites. Elle a longtemps organisé un réveillon le soir même de Noël avec les Petits Fréres des Pauvres, qu’elle a remplacé par une distribution de colis,  continue 2 à 3 fois par an d’organiser ses goûters-spectacles et une excursion par an sous la houlette de l’infatigable Geneviéve Poupardin

  • LES RENDEZ DE VANVES D’UNE SEMAINE CONSACREE AUX VŒUX, A LA GALETTE, AU LOGEMENT ET AUX SOUVENIRS

    Ils ont commencé notamment à la Préfecture des Hauts de Seine où était présent bien sûr, Bernard Gauducheau maire de Vanves qui a rencontré tous ces collégues de GPSO et des Hauts de Seine, et continueront au Conseil Général Mardi soir où Patrick Devedjian reçoit les personnalités altoséquanaises, ainsi que Vendredi  à Issy les Moulineaux où André Santini organise ses vœux à la Halle aux Sports Carpentier. Il était d’ailleurs à Vanves Samedi matin pour dédicacer son livre/dictionnaire « Le Santini » à la libraire Blondel qui avait bien fait les choses, de nombreux vanvéens s’étant déplacé à cette occasion pour rencontrer leur député, en pleine forme, avec toujours un bon mot pour l’un et pour l’autre. Bernard Gauducheau qui était présent avait fait, aupravant, le tour des commerçants du marché pour offrir café et croissants pour la nouvelle année. Une tradition qu’il avait inauguré lorsqu’il était conseiller général de Vanves alors que Guy Janvier était maire de Vanves. D’ailleurs ce dernier faisait ses courses à la même heure au marché puis à Champion, signalant à tous ses intercoluteurs d’aller sur son blog dans lequel il revenait sur la dernière proposition de Nicolas Sarkozy, « La taxe Robin à la Française :  un bluff indécent », en reprenant le communiqué de presse d’ATTAC. Dimanche, les chrétiens de Vanves ont célébré l’Epiphanie notamment lors d’une messe avec les familles à Saint Remy qui s’est terminé par une galette des Rois. Enfin, puisque personne n’en parle depuis maintenant deux Saint Sylvestre,  et notamment la Préfecture des Hauts de Seine avec le ministére de l’Intérieur, il n’y a pas eu de voitures brulées à Vanves, sauf deux 2 roues dont un scooter. Alors qu’il y a eu 50 voitures brulées dans les Hauts de Seine.  

     

    Mardi 10 Janvier 2012

    A 14H30 au Conseil Régional : Bernard Gauducheau participe à une courte séance plénière du Conseil Régonal pour désigner de nouveaux membres à la Commission Permanente où il siége.

    Mercredi 11 janvier 2012

    A 20H au Rosier Rouge : Galette des Rois et Vœux

    Vendredi 13 Janvier 2012

    A 19H au pavillon Dauphine : Soirée du personnel communal 

    Samedi 14 Janvier 2012

    Les associations de Vanves comme le Secours Catholique, Saint Vincent de Paul, SNL participeront au Forum « Quel Avenir pour le logement dans les Hauts de Seine » qui se dérouleront à 14H à Asnières (Théâtre du Forum), en présence de Mgr Daucourt qui a initié cette campagne l’année dernière avec la création d’Observatoire citoyens du logement dans chaque commune. Les participants auront à répondre à cette question : « Comment résoudre les défis démographiques, sociaux et financiers pour que le projet du Grand Paris se concrétise : Construire beaucoup de logements et favoriser la mixité sociale. La loi sur le Grand Paris fixe comme objectif de construire 11 600 logements par an dans les Hauts de Seine (70 000 en Ile de France)  alors qu’actuellement, moins de la moitié sont construits annuellement. De surcroît, 14 communes des Hauts de Seine ont moins de 20% de logements sociaux et 3 communes plus de 50% ».

    A 15H au Cinéma Le Vanves : Projection du film « les intouchables » dans le cadre du réseau « Ciné Ma Différence »

    A 15H Salle La Palestre : Fêtes des 3 Conseils de Quartier pour le Nouvel An

    Dimanche 15 janvier 2012

    Isabelle Debré participera le 15 Janvier  à la célébration du centenaire de la naissance de Michel Debré pére de la constitution de 1958 et premier 1er ministre de la Véme République et du Général de Gaulle. Elle se déroulera en présence de toute la famille Debré au grand complet avec le Président de la République Nicolas Sarkozy.  « Avec une arrivée fixée vers 11h. Le président irait se recueillir sur la tombe du célèbre défunt, premier des gaullistes. Il passerait un moment place Michel-Debré au pied du château, et visiterait peut-être le château, ainsi que deux ou trois commerces où l'ancien Premier ministre avait coutume d'aller, notamment la fameuse pâtisserie Bigot où « Christiane », la patronne, entretient religieusement la table sur laquelle « Michou la colère », ministre et académicien, venait goûter quelques gâteries. Une rencontre républicaine, « discours sur les institutions », est incontournable, peut-être dans le gymnase, et on attend beaucoup de monde et d'officiels. Un échange plus intime est envisagé avec anciens et nouveaux élus de la commune » indiquait la presse locale (La Nouvelle République).  Rappelons à cette occasion, que l’ancien premier ministre du Général de Gaulle a bien connu Vanves, lorsqu’il venait dans le pavillon de la rue Victor Hugo, où habitait alors Isabelle Debré. Cette célébration intervient à un moment où disparait – samedi dernier -  le fondateur de la Fondation Charles de Gaulle, Pierre Lefranc, ex-directeur de campagne présidentielle du Général en 1965 qui avait été l’un des organisateurs de la grade manifestation des gaullistes à l’Etoile en 1968. Il avait raconté, à l’initiative de l’auteur de ce blog, la visite du Général de Gaulle à Vanves le 11 Mars 1951 et son discours à la Conférence des Jeunes du RPF, dans le Vanves Infos de Novembre 1990. 

    Pendant ce temps là, à Vanves :    

    A 11H à Saint Remy : Messe pour la fête la Saint Remy suivi d’un apéritif et d’un repas

    A 15H à Saint François : Galette des Rois de l’association Saint Vincent de Paul

    A 17h30 au Cinéma Le Vanves : Diffusion du film « Intouchables », en présence de membres de l'association Simon de Cyrène

     

    LORSQUE LES TROPHEES DU BICENTENAIRE ONT ECHAPPE A LA BEREZINA

     

    Les passionnés des jeux de stratégies se sont affrontés ce week-end dans la salle des fêtes de la Mairie,  lors du  XVéme Trophée du Bicentenaire en hommage bien sûr à Napoléon et aux guerres napoléoniennes. Une compétition internationale de jeux de stratègies d’après les grandes batailles de la révolution et l’empire organisé par un vanvéen, Frédéric Bey,  passionné par les batailles napoléoniennes qui a eu fort à faire ce week-end, notamment lorsqu’il s’est retrouvé devant le café-restaurant Les Platanes fermé samedi soir avec 24 participants sur la centaine de présents dont beaucoup venaient de toute la France,  et certains de Suisse et de Belgique dont le vainqueur du Trophée 2012. Heureusement le Relais de Vranves a pu les accueillir prestement.  Il paraîtrait que Les Platanes ont été vendus la semaine dernière. Est-ce une raison pour faire défaut à un engagement de longue date ? En tous les cas le patron du Relais de Vanvres les a sauvé de la Bérézina.

    André Santini était bien sûr présent lors de la remise des prix, Dimanche soir, avec Bernard Gauducheau où nos deux élus ont excellé dans les références à Napoléon. D’après Bernard Gauducheau, Wallington aurait séjourné à Vanves, et l’ex-commissariat de Vanves situé dans un pavillon où s’est installé le service Jeunesse aurait été habité un général de l’armée Napoléonienne. André Santini a rappelé le souvenir de l’un de ces ancêtres (Cf son dictionnaire « Le Santini » aux noms propres) : « Giovanni Natale (Jean Noël) Santini incorporé dans l’armée de Napoléeon à 14 ans, tambour, puis tirailleur et courrier du quartier Impérial. Il a accompagné l’empereur à l’ile d’Elbe, et l’a suivi à Sainte Héléne, et a même imaginé tuer Hudson Lowe, l’haineur geôlier » a-t-il raconté devant l’ensemble des partcipants dont trois membres de l’Ecole de guerre et deux gendarmes, avant de saluer leur « authenticité ».

  • VANVES ET LA GENESE DE SES ASSOCIATIONS : SAINT VINCENT DE PAUL 70 ANS DE PRESENCE ET DE SOLIDARITE DE TERRAIN

    Le blog Vanves Au Quotidien  continue notre voyage dans le temps en s’intéressant à la genése des plus anciennes associations de Vanves : Nous nous intéressons ce week-end à la société Saint Vincent de Paul, et non l’amicale des anciens éléves du Lycée Michelet comme prévu, pour deux raisons : Tout d’abord cette association organise ce week-end sa quête annuelle à la sortie des messes, ce qui lui permet de financer ses animations, ses soutiens financiers à ceux qui sont âgés, seuls, malades… ou dans l’incapacité de payer loyers et charges. Ensuite parce qu’elle célébre en 2011 ses 70 ans de présence à Saint François et à Vanves comme le Stade de Vanves. A l’époque elle se dénommait « conférence Saint Vincent de Paul » et beaucoup se sont demandés pourquoi : Tout simplement parce que cette société créée en 1833 par de jeunes universitaires qui souhaitaient réagir contre l’anticléricalisme ambiant de l’époque et du quartier latin,  et développer une certaine forme de solidarité. Et c’était un terme à la mode pour désigner une telle association par des étudiants.

     

    Elle avait choisi pour siége une église et un quartier qui ne ressemblaient à rien  à ce qu’ils sont devenus aujourd’hui : Un ensemble de pavillons, sans caractère, hérissé de quelques immeubles de 3 ou 5 étages, manquant de tout confort, habité par des émigrés des faubourgs du XVéme, des réfugiés des inondations de 1910, de bretons et vendéens voulant rester à proximité de la gare Montparnasse, et une petite colonie russe. En 1941, c’est la guerre et le pére Renaud, alors curé de la paroisse Saint François, décide de réagir pour aider les familles qui se débattent au milieu de nombreuses difficultés. Il convoque quelques paroissiens le 13 février 1941  dont Maurice Jardin, qui en fit son premier président, et leur propose de créer un groupe de  charité qui fut agréé ensuite par la société Saint Vincent de Paul le 28 Janvier 1942, apportant ainsi à ce petit groupe local l’appartenance à un grand mouvement de chrétiens laïcs fondé par un jeune homme de 22 ans, Frédéric Ozanam, vers 1833. Cette petite équipe a suivie l’exemple de ces femmes qui, à l’époque de Saint Vincent de Paul, ont créée dans la paroisse Saint Remy, une association semblable, « les dames de la charité »,  pour venir en aide aux nécessiteux de l’époque. 58 vanvéennes avaient ainsi entre 1461 et 1672/75 sous la houlette de l’abbé Oudin alors prieur-curé de Vanves œuvré dans cette confrérie qui avait son statut et son régement.

     

    « Durant la guerre et l’immédiat après-guerre, ce petit groupe a réalisé de véritables prouesses pour apporter une aide matérielle, un réconfort, une amitié à des familles qui se débattaient tout comme eux dans de nombreuses difficultés. Ils fournissaient là, un surplus de nourriture, un meilleur chauffage, l’un d’entre eux n’hésitant pas à aller jusqu’à Monthléry pour aller chercher  du ravitaillement chez des maraîchers. Ils faisaient ici la queue chez des commerçants à la place des impotants, récupérer tout ce qui pouvait l’être pour le redistribuer à des familles dans le besoin, multipliant les démarches pour toucher des allocations ou des tickets supplémentaires, suivre les jeunes en partance au sanatorium car la tuberculose faisait des ravages, soutenant les familles endeuillées… »  racontait l’un de ces premiers vincentien vanvéen.

     

    Les années ont passées et les situations ont changé en s’améliorant bien sûr : « dans les années 50, cette équipe a lancée les aides ménagères à domicile qui furent reprises quelques années plus tard par la mairie. Un de ses membres donnait des cours de français à des ouvriers algériens dans la salle de la paroisse, faisant de l’alphabétisation avant l’heure ». Plus tard, elle s’est mise à distribuer des aides ponctuelles pour épauler une famille dans une mauvaise passe en attendant l’intervention des services sociaux de la mairie avec lesquels elle entretient d’excellent rapport. Et aujourd’hui, elle participe à la Banque alimentaire, à l’épicerie sociale intercommunale d’Issy/Vanves dont elle est membre fondateur avec le Secours Catholique et la Croix Rouge. Elle a apportée surtout par des visites, pierre angulaire de son action, une présence suivie auprès des aînés bien souvent seuls, et notamment ceux du Foyer Danton. Elle a longtemps organisé un réveillon le soir même de Noël avec les Petits Fréres des Pauvres, qu’elle a remplacé par une distribution de colis continue 2 à 3 fois par an d’organiser ses goûters-spectacles et une excursion par an sous la houlette de l’infatigable Geneviéve Poupardin